Formation professionnelle : Des potentialités à accompagner

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Le secteur de la formation professionnelle à Skikda, est riche de ses spécialités, pauvre en communication sur celles-ci.

La récente visite du ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnels (MFEP), Dada Moussa Belkhir, jeudi 25 juillet à Skikda, a donné un aperçu non exhaustif des avancées du secteur, qui demeurent à consolider et à perfectionner.

Alignés dans la cour du Centre spécialisé de formation et d’apprentissage des handicapées physiques (CSFAHP) Rabah-Younes,  implanté à Salah-Boulekroua, les établissements de formation de la wilaya affichaient leurs statuts et spécialités. Les deux instituts nationaux spécialisés en formation professionnelle (INSFP), Boudjemaa-El Amri et Mohammed-Bouguerra, ainsi que les centres de formation de Harrouche, Essebt, Azzaba, Bine el Ouidene, Zitouna, Ramdane Djamel, Ben Azzouz, Tamalous, Oum Toub, Hamadi Krouma et le centre féminin, ont, chacun dans une spécialité donnée, fait dans la variation formative.

Le centre de formation professionnelle de Ben Azzouz, distant de prés de 65 km du chef-lieu de wilaya,  a révélé à DZCharikati, par la voix de Yasmine Laalaimia, enseignante des énergies renouvelables (EnR),  que « la formation en installation photovoltaïque, solaire et thermique, a été sanctionnée par la sortie de 21 stagiaires, détenteur de certificat d’aptitude professionnelle (CAP). », ajoutant que «pour la session de septembre, il y aura d’autres stagiaires, venus pas seulement de la commune et ses alentours, mais d’autres communes limitrophes. »

A l’INSFP Boudjemaa-El Amri, on a pris connaissance de la sortie de la 1ère promotion de TS en horticulture en mode présentiel. Le staff administratif et pédagogique ainsi que quelques TS, nous ont présenté les modules enseignés lors de cette formation, notamment la protection des végétaux et la culture des plantes médicinales, aromatiques et aromatiques. Aussi, ce staff a sur place expliqué la procédure d’extraction d’huiles et d’aromes à partir des plantes. Au MFEP, il lui a révélé que « nous disposons d’un potentiel aromatique et en huiles essentielles et végétales énorme, facilement exportable, si des moyens matériels seront mis à notre disposition, pour en avoir la quantité requise. »

Ces deux établissements ne sont qu’un échantillon, regorgeant de talents humains. Pourvu que, en contrepartie, le marché de l’emploi daigner les intégrer. Car, le suivi en insertion professionnelle des sortants de la formation professionnelle, est une donnée qui manque aux statistiques et au suivi que devait faire le secteur de la formation et de l’enseignement professionnels


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